Il y a toutes sortes de préjugés qui sont soulevés quand on parle de la santé mentale. Tels que « Mon doux, qu’il est paresseux ! Il dort à la journée longue ! ». Ou bien encore « As-tu vu sa chambre dernièrement ? Quelle soue à cochons ! ».

Soutenir une personne qui développe un problème de santé mentale ou qui traverse une crise de santé mentale sous-entend mettre en application son « bon sens ».

Samuel a reçu un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme alors qu’il n’avait que 3 ans. Il y a 10 ans, les ressources pour les parents étaient très limitées.

SASKATOON - « La santé est un état de bien-être physique, mental et social complet et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Cette définition de l'Oragnisation mondiale de la santé a servi de toile de fond à la Journée du Mieux-Être, organisée par le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS), le 6 avril 2019 à Saskatoon.

Le scientifique Albert Einstein, comme il l’a dit si bien : « Quelle triste époque où il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé. »

BELLEGARDE - Le 11 février dernier à Bellegarde, le Réseau santé en français de la Saskatchewan a animé une discussion en partenariat avec l’Association communautaire francophone de Bellegarde à propos des expériences des gens avec les services de santé dans la région de Bellegarde. 

La directrice générale du Réseau en santé de la Saskatchewan (RSFS), Frédérique Baudemont, a amorcé une tournée des régions rurales de la province pour mieux comprendre l’expérience des gens en matière de santé dans les communautés reculées.

REGINA - À l’occasion de la semaine de prévention du suicide au Québec (du 3 au 9 février), nous avons voulu poser trois questions à Francine Proulx-Kenzle qui milite depuis des années pour la prévention du suicide et la qualité de la santé mentale.

Le 22 janvier, la ministre fédérale de la Santé, Ginette Petitpas Taylor, présentait le tout nouveau Guide alimentaire canadien. Et il suscite de nombreuses réactions.

La Fédération provinciale des Fransaskoises (FPF) a reçu du financement sur trois ans pour travailler auprès des personnes aidantes de l’Ouest canadien pour vérifier leurs besoins d’appuis et de services, puis proposer des changements systémiques pour répondre à ces besoins.