Une journée d’espérance entre paroisses

Le 15 novembre, une centaine de personnes se sont rassemblées à la paroisse des Saints-Martyrs-Canadiens à Saskatoon pour une journée d’animation provinciale parrainée par le Conseil pastoral francophone interdiocésain de la Saskatchewan (CPFIS). Avec l’espoir de rapprocher les paroisses et leurs administrés.

Réunis autour du thème de l’espérance, les visiteurs sont venus des paroisses des diocèses de Prince Albert, Saskatoon et Regina. 

Avant tout, la rencontre se voulait être une journée familiale avec divers groupes d’âge.

Alors qu’un groupe d’adultes était coordonné par Francine Proulx-Kenzle, les adolescents ont pu profiter d’une retraite animée par le groupe NET (National Evangelization Team).

« J’ai aimé les jeux, les activités de groupe, les prières, la chanson, l’énergie de tous ceux qui ont participé dans les activités », commente l’un des adolescents présents.

« Je veux avoir plus de temps, plus de jeux qui ont un lien avec Dieu, prier avec Dieu et Jésus, plus de nourriture, jouer à des jeux dehors », ponctue un autre.

Il y avait aussi des activités spirituelles pour le groupe de 7 à 10 ans animées par Akossiwa Odile Batonon et des activités pour le groupe de 4 à 6 ans animées par Marie-Jeanne Will. Enfin, le groupe des tout petits était géré par Virginie Djadji. 

L’espoir au menu

La journée a commencé avec une prière et un mot d’espérance de monseigneur Mark Hagemoen du diocèse de Saskatoon. 

L’après-midi a suivi avec un message d’espérance de monseigneur Donald Bolen, archévêque de l’archidiocèse de Regina, sur la plateforme Zoom.  

La journée s’est clôturée avec une messe célébrée par monseigneur Stephen Hero du diocèse de Prince Albert et co-célébrée par l’abbé Grégoire Roth de la paroisse des Saints-Martyrs-Canadiens.

La session avec les adultes a commencé avec un panel de six personnes qui ont décrit la situation dans leurs paroisses, dont les défis. 

Puis, la cohorte s’est divisée en petits groupes de discussion pour répondre à plusieurs questions, telles que : « Comment partager la foi en milieu minoritaire ? Quels sont les besoins dans les paroisses ? Comment transmettre la foi aux jeunes ? Comment collaborer entre paroisses ? »

« Cette rencontre m’a donné beaucoup d’espérance pour continuer à œuvrer en français », indique l’un des participants.

Les paroissiens sont repartis avec l’espoir que ces discussions mènent à des suivis concrets et à une collaboration plus étroite entre les paroisses.  

Cet article a été fourni par Vivianne Lesko, présidente du Conseil pastoral francophone interdiocésain de la Saskatchewan (CPFIS)